Comment se déroule la recherche ?

Les chercheurs l’ont confié : il est vraiment difficile de soigner le cancer. Non seulement il peut toucher n’importe quel organe du corps humain, mais aussi il existe beaucoup de sous-types de la maladie. Même si on trouve des solutions, la guérison peut dépendre de la personne, du type de maladie et de son état de santé en général. Les chercheurs collectent et analysent les données obtenues des malades. Ces données sont envoyées vers les laboratoires spécialisés dans la recherche pour étude. Les recherches en laboratoire, comme au niveau du Centre de Cancérologie de Rennes et de Saint-Malo et sur les personnes sont différentes, et les traitements trouvés peuvent fonctionner dans les laboratoires, mais pas sur les personnes atteintes. Ce qui rend la recherche sur le cancer très difficile.

La recherche permet de comprendre la manière dont se manifeste la maladie, de trouver comment prévenir la maladie, comment la traiter et aussi comment améliorer la vie des personnes atteintes de cette maladie. Elle permet aussi de comparer les cellules saines avec les cellules cancéreuses. Ces dernières sont prélevées sur la tumeur elle-même.

Le nouveau traitement encore en essai

Il faut souligner le fait que le cancer du foie atteint le plus de français que d’autres cancers. En effet, il existe 8 000 nouveaux cas de cancer du foie par an. Le traitement évolue, récemment, un nouveau traitement du cancer du foie a été essayé dans le CHU de Rennes. Ce traitement s’appelle l’immunothérapie cellulaire. Il faut remarquer que le cancer du foie est un cancer très difficile à gérer et à guérir. Ce mode de traitement se fait par la reprogrammation des globules blancs du malade pour lui permettre d’attaquer les cellules cancéreuses dans son corps. Bien sûr, ce mode de traitement a déjà été utilisé pour traiter certains types de cancers dits liquides. Mais maintenant, les chercheurs ont décidé de l’utiliser pour traiter les cancers solides comme le cancer du foie. Toutefois, pour avoir des résultats, il faut compter plusieurs années après.

Le diabète infantile se soigne

Malheureusement, le diabète infantile ne se guérit pas, mais il se soigne très bien. Pour qu’il puisse mener la vie la plus normale possible, il doit se faire injecter de l’insuline et ce, quotidiennement. Cette injection s’accompagne aussi de la surveillance du taux de sucre dans le sang. Pour mesurer la glycémie, il faut prélever une goutte de sang du doigt sur une bandelette insérée dans un dextro, un appareil spécifique à la surveillance de la glycémie. Vous pourriez aussi opter pour un système de mesure du glucose en continu nommé capteur de glucose.

3 moyens d’injections d’insuline

Dès qu’un diabète infantile est diagnostiqué chez votre enfant, un traitement sera très vite mis en place et consistant à lui administrer de l’insuline. 3 moyens sont possibles pour cette injection et c’est à votre enfant de choisir ce qui lui convient le mieux. D’abord, les seringues et les flacons d’insuline qui sont de moins en moins utilisés en France. Puis, il y a les stylos à insuline avec lesquels l’insuline est injectée sous la peau plusieurs fois par jour. Ils peuvent être rechargeables ou jetables et permettent de prendre l’insuline par 1/2, 1 ou 2 unités. Enfin, il y a la pompe à insuline permettant de délivrer de l’insuline en continu.

Les produits utilisés dans l’anesthésie

Dans la majorité des cas recensés d’allergie aux médicaments, ce sont les produits utilisés pour anesthésier le corps qui les provoque le plus souvent. Cela peut être durant une anesthésie locale ou générale. Les complications entrainent des symptômes tels que l’apparition de boutons sur le corps, ou encore des baisses de tension artérielle bénignes. Heureusement, ces réactions sont traitables facilement.
Cependant, on peut citer des cas beaucoup plus rares, mais malheureusement plus graves de réaction allergique face aux anesthésiants. C’est ce qu’on appelle les chocs anaphylactiques. Les produits qui les causent sont les curares et les myorelaxants contenus dans les substances pour faire des anesthésies générales.

Les antibiotiques et anti-inflammatoires

Des médicaments plus précis sont également une cause d’allergie chez un grand nombre de patients. Dans la catégorie des antibiotiques, c’est surtout la pénicilline qui possède des principes allergènes. Heureusement, on retrouve facilement d’autres alternatives à ce médicament qui sont moins nocives et qui donnent des résultats très satisfaisants.
En ce qui concerne les médicaments anti-inflammatoires, c’est surtout le cas de l’aspirine qui laisse à désirer. Les manifestations de l’allergie à ce médicament sont violentes et graves. Certains patients peuvent subir une crise d’asthme sévère et des troubles digestifs les handicapant sur une longue période. Une hospitalisation d’urgence est nécessaire pour calmer les effets de ces médicaments et le traitement devra être réajusté.

Les types de leucémie

La leucémie aiguë survient rapidement chez le malade, dès lors que son corps ne fabrique plus de globules rouges ou des plaquettes et il risque une anémie et des troubles sanguins. Il y a également la leucémie chronique qui fait produire des globules blancs matures à l’excès dans le corps et se développe lentement. Le cancer du sang que les enfants ont généralement est la leucémie aiguë lymphoblastique et qui cause des dérèglements sanguins. Quant à la leucémie lymphocytaire chronique, elle survient généralement chez ceux qui ont plus de 55 ans. La leucémie myéloblastique aiguë et la leucémie myéloïde chronique apparaissent plutôt chez les adultes.

Les traitements de la leucémie

Selon le type de leucémie ainsi que la situation du malade, les médecins décideront du traitement le plus adapté. Par exemple, pour la leucémie myéloïde chronique, les spécialistes préconiseront des inhibiteurs de la tyrosine kinase. Ces médicaments permettent de stopper la production anormale et excessive des cellules sanguines. Durant cette thérapie ciblée, le patient peut espérer une rémission qui peut être temporaire ou pour une longue durée. En ce qui concerne la leucémie aiguë, les médecins prescrivent des antibiotiques pour éviter toute infection. Les autres traitements habituellement administrés au malade sont la chimiothérapie, la radiothérapie, la greffe ou l’autogreffe des cellules souches.

L’arthrose lombaire touche hommes et femmes. Elle se manifeste d’habitude à partir de quarante-cinq ans par des douleurs intenses. On dit souvent que c’est l’œuvre de la profession exercée mais on relève d’autres facteurs en cause telle que l’âge, l’obésité, le sport, le tabac,…

Les symptômes de l’arthrose lombaire :

Une personne touchée par l’arthrose lombaire présente les signes suivants :
• Des douleurs lombaires (sur le bas du dos)
• Douleurs s’intensifiant au fil de la journée
• Les mouvements aggravent les douleurs
• Sommeil perturbé par les douleurs
• Des craquements
• Diminution de la souplesse
• Une crise aigüe peut entrainer la compression d’un nerf (sciatique)

Les différentes formes de l’arthrose lombaire :

L’arthrose lombaire peut se manifester par :
• La lombalgie chronique : fait que la personne ressent des douleurs lombaires pendant un long moment (mois). La douleur varie en effet en fonction des mouvements faites par elle surtout au niveau dorsal.
• La lombalgie aigue ou encore appelée lumbago : ici on parle surtout d’une atteinte à la racine nerveuse. Les douleurs se font ressentir jusqu’aux membres inférieures tels que les cuisses, les jambes, les pieds mais ne durent pas plus d’une semaine.
• La cruralgie : la racine nerveuse est aussi touchée ici mais la douleur est plus amplifiée surtout la nuit. Les zones touchées se situent entre les cuisses et les genoux.

Les conséquences de l’arthrose lombaire :

L’âge étant l’un des facteurs en cause de l’arthrose lombaire, il en résulte que l’association du vieillissement avec cette pathologie fait perdre un peu plus vite l’élasticité des disques intervertébraux qui en principe servent d’amortisseur pour absorber les chocs.
On parle de discopathie dégénérative de par la dégradation subie par les disques intervertébraux ou de l’épaississement de des ligaments qui soutiennent en général la colonne vertébrale. Il faut noter que l’usure de ces disques entraine une raideur des articulations et augmente les douleurs lombaires.

Les traitements de l’arthrose lombaire :

Le traitement de l’arthrose lombaire peut se faire :
• Par les médicaments : ils auront pour effet d’atténuer les douleurs ressenties tels que les anti-inflammatoires, les antalgiques, les antidépresseurs tricyclique, les infiltrations intra articulaires, les injections intra discales,…
• Par d’autres pratiques : le traitement orthopédique vise à faire porter un corset d’immobilisation vertébral de série ou sur mesure à la personne afin de maintenir une bonne position de la musculature ou bien une ceinture de soutien lombaire pour bien cadrer les vertèbres. Il y a aussi les exercices thérapeutiques, les massages,… qui sont efficaces.
Par la chirurgie : une intervention chirurgicale s’impose lorsqu’il y a une compression des racines nerveuses.

La maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson

On a tous entendu parler, tout au moins, de la tristement célèbre maladie d’Alzheimer ou de la maladie de Parkinson. Il y a aussi la maladie de Hunttington, tout aussi grave, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, la sclérose en plaque et d’autres encore, malheureusement. Ce sont les personnes âgées de 65 ans et plus qui sont le plus souvent atteintes par ces maladies neurodégénératives. Comment le mal débute-t-il ? Tout commence par une perte progressive des neurones dans certaines régions du système nerveux et des complications cognitives et ou perceptives se présentent alors. Trop souvent, une maladie neurodégénérative se solde par la mort du patient. Le fait est que l’on ne sait toujours pas avec exactitude l’origine de ces maladies. La génétique est un des facteurs probables mais pas nécessairement. Chez certains sujets, il a été constaté que des facteurs comme l’inhalation de produits chimiques ou de prions.

Le problème des maladies neurodégénératives

Ce qui rend vraiment problématique les maladies neurodégénératives, c’est parce que ce sont les neurones du système nerveux qui sont touchées. Et pourtant, les neurones sont les éléments de base du système nerveux qui englobe aussi bien la moelle épinière que le cerveau. De plus, ces neurones ne se divisent pas et surtout, ne se renouvellent pas. Par conséquent, une fois que ces neurones sont endommagées ou meurent, elles ne sont plus remplacées. Celles qui sont endommagées finissent par mourir et celles qui meurent ne sont pas remplacées. Ce qui veut dire que les maladies neurodégénératives sont incurables. Mais en plus, pendant le reste de la vie du sujet, la maladie le handicape petit à petit pour finalement le rendre complètement dépendant. Les mouvements autrefois normaux et même faits par réflexe et par habitude se perdent et les fonctions mentales aussi se dégradent. Dans ce dernier cas, on parle de démence, responsable de la plupart des morts dans le cadre des maladies neurodégénératives.

La réalité en France

En France, il semble que ce soit plus d’un million de personnes qui sont touchées par les maladies neurodégénératives, surtout la maladie d’Alzheimer et les cas de démence. Le fait que la population vieillit et qu’il n’existe, à ce jour, aucun traitement curatif, présagent l’augmentation des victimes de ces maladies dans les années à venir. Le ministère de la Santé ne cesse de mobiliser les consciences sur ces maladies et incite à la mobilisation pour un plus grand accès aux soins, pour un meilleur accompagnement des malades et de leurs aidants ainsi que pour des recherches plus approfondies sur ces maladies. Sur le plan national, des efforts sont fournis pour mieux comprendre le poids de ces maladies, en termes de recours aux soins et de fréquences.